[Invasion de Nurgle.] La Chose Putride.

L’Invasion de Nurgle était lancée depuis plus d’un an maintenant… Les Space Marines et surtout les Orks étaient les seuls à opposer de la résistance, mais la guerre coûtait chère, surtout quand les voies de réapprovisionnement étaient coupées. Les meilleurs éléments des deux camps avaient donc dû s’acquitter de missions presque suicides dans la capitale, en équipe réduite. Pour la Faction Peau-Verte, la catégorie « meilleurs éléments » incluait invariablement Krorgark l’Ork Sauvaj’, dit le Chasseur.
Il n’en était d’ailleurs pas à sa première mission parmi les cubes d’habitations zoms, mais cette fois-ci, il devait admettre que la mission était un échec… Quand il ne reste plus que quelques truks en dehors de la ville alors que ses boyz ont été massacrés, même le plus stupide des Orks aurait compris que sa mission était un échec… Il devait donc, chargé d’un maximum de munitions, survivre aux vagues de Zombis de la Peste, des démons de Nurgle, des mutants et autres abominations maladives qui pullulaient sur toute la surface de Kronus…

Alors que son Squig-poison violet poussait de petits cris aigus, Krorgark sauta du toit de l’immeuble à un autre. Le saut était risqué, mais l’abomination mi-organique mi-liquide qui le poursuivait valait bien cette prise de risque.
L’Ork détendit ses jambes dans une puissante propulsion, traversa le vide malgré son armure, frôla le rebord du toit, dû se raccrocher en catastrophe à celui une fenêtre…
« Par Gork, si j’men’ sort… » Commença-t-il à souffler.
Mais il fut interrompu par un hurlement gargouillant : la Chose Putride l’avait rattrapé.
Cette créature, formée de chair liquéfié et de pus, ressemblait à une portion de l’océan dans lequel Nurgle lui-même aimait se baigner… Parfois, un membre constricteur ou une bouche dentée apparaissait, pour lancer un cri à la face des cieux ou attraper un innocent qui passait par là…

La Chose Putride étendit une sorte de long pseudopode vers Krorgark. Ce dernier, dans une tactique désespéré, s’en servit comme en tant qu’appui pour sauter sur le toit. Il se remit ensuite à courir comme un dératé, avant de se rendre compte que sur ses bottes, des éclaboussures de la Chose commençaient à le ronger… Se débattant sur un pied puis l’autre, il tomba dans une faille du toit sur lequel il se trouvait…

Pour tomber nez à nez avec un zom. Un Garde Impérial. Mais comment était-il arrivé là ? Krorgark les pensait tous morts…

Depuis que la garde impérial avait été vaincu le 1er peloton du 95ème régiment de Fusiliers Cadiens avait vu ses rang diminué rapidement. Arrivé il y a 1an avec 31 kasrkin et 2 autres peloton du 95éme FC, ils se retrouvait maintenant à 2 kasrkin et 3 gardes lambda, il y as 1semaine Harelton avait du prendre le commandement du groupe après que le sergent Pirskin, ainsi que 7gardes et 3kasrkin, furent engloutit par une chose répugnante n'ayant pas vraiment de forme définissable, une sorte de flaque répugnante les avait littéralement engloutit il avaient du fuir. Harelton et ses troupes arrivèrent dans une rue assez imposante, ils entendirent d’étrange bruit, il décidèrent d'avancé le plus prudemment possible les 2 kasrkin avancèrent jusqu'au premier croisement tandis que les trois gardes couvrait leur arrières. La voie semblait libre, il fit signe au 3garde de venir le rejoindre,a peine rassemblé un groupe de space marines du chaos, plus particulièrement ceux de nurgle, débouchèrent dans la rue. il entrèrent en toute hâte dans le bâtiment le plus proche. Une fois les space marines hors de portée de vue, ils se détendirent un peu, malheureusement ce fût de courte durée les étrange bruit qu'il avaient entendu auparavant semblait venir de ce bar dans lequel il venait d'entrés.
Harelton demanda alors a ses hommes: "Dratavin, tu prend Sertorius et Agantyr avec toi, moi je reste avec Caïn. Allez action, Pour l'empereur!"

Cela faisaient à peine 2minutes que Dratavin était parti qu'il entendit des tir de laser.
"Caïn, vient avec moi on va voir ce qu'il se passe!"
Quand ils arrivèrent dans l'arrière boutique il virent une hordes de zombies en putréfaction, il avaient déjà tué Sertorius, Agantyr se faisait éventré par trois zombie qui tiraient sur sa peau, pendant qu'un quatrième plongée la tête dans le ventre du malheureux. Dratavin faisait un massacre avec son fusil laser lourd, et ce massacre augmenta quand Harelton se joignit au combat avec son Fusil laser lourd, Caïn hurlât: "Derrière nous d'autres zombARRRRGH." Il venait de se faire submerger par la deuxième horde. Harelton et Dratavin battirent en retraite et sautèrent par la fenêtre qui donnait dans la ruelle derrière le bar. Il se mirent a courir a toute vitesse malheureusement il débouchèrent sur une autres hordes de zombies "Combien sont-ils?" dit Dratavin. "On s'en fous, prend a droite vite" lui hurla Harelton pour toute réponse. Harelton fonça a toute vitesse Dratavin sur ces talons quand ce dernier trébucha sur un cadavre, Harelton entendit un craquement d'os, se retournant il vit Dratavin par terre les zombies a a peine 15mètres derrière eux. "Fonce je peut plus marcher.". Il se mit a tiré dans le tas tout en hurlant "Pour l'empereur!". Harelton décida que plutôt que de fuir il ferais un dernier massacre, il décida d'entré dans la maison qui était au bout de la rue à une bonne trentaine de mètres, il grimpa a l'étage et commença à faire un massacre depuis la fenêtre. Au bout de 5minutes il ne restait plus qu'une petite dizaine de zombie cependant ils avait atteint la maison et ils commencèrent a grimpé a l'étage; quand soudain tombant du ciel ou plutôt de la faille dans le toit de cette maison. L'ork avait l'air surprit de voir Harelton, les yeux de l'ork était violet se qui dérouta un instant Harelton puis derrière eux les quelque zombies survivant entrait dans la pièce. Harelton hurla : "Derrière toi, des zombies." Il pointa son fusil vers les zombie et tira dans le tas.

Reprenant ses esprits, Krorgark se retourna et décapita trois zombis d'un bon coup de Gros Kikoup'. Il ne put retenir un "Nom d'Gork" en voyant que les zombis étaient des dizaines à se précipiter vers la porte pour les dévorer.

D'un bond il se mit hors d'atteinte des coups, ce qui lui permit d'actionner son Schok Attack Gun. La porte fut bientôt bloquée par une masse répugnante et inerte qui n'avait rien à envier à la Chose Putride.

Krorgark se précipita alors vers une fenêtre pour disparaître. Alors qu'il allait se mettre hors d'atteinte, il se rappela de la présence du survivant. Il ne pouvait pas le laisser ici. Décidemment, Baalakai avait une drôle d'influence sur lui... Il se retourna.

"Vien' avek moi si tu veu' vivr'." Fit-il de sa voix grave et gutturale.

Puis, sans attendre plus longtemps, il empoigna le garde et le mit sur son épaule sans plus de ménagement, avant de sauter par la fenêtre, de se raccrocher à un réverbère, de tourner un instant suspendu au-dessus du sol et de repartir ainsi jusqu'à ce qu'il trouve un endroit tranquille pour se poser : un toit sur lequel diverse caisse de munitions pour la plupart vide les cachaient aux regards indiscrets.

Le petit-Squig violet de la taille d'une main qui ne le quittait jamais laissa échapper un "beuheu" en sortant sa grosse langue ; il n'avait pas bien apprécié le voyage.

L'Ork Sauvaj' le prit dans sa grosse main et le caressa doucement, comme les Humains le font avec un chat ; un chat extrêmement venimeux capable d'engloutir votre main, mais un chat quand même...

Puis, Krorgark sembla se rappeler la présence du survivant.

"K'ess' tu fai' ici ?" Demanda-t-il avec son tact habituel.

Reprenant ses esprit après cet escapade sur l'épaule de l'ork, il donna sa réponse a l'ork: "Je suis ici pour chasser les hérétiques au nom de l'empereur, ainsi que venger tout mes camardes morts. Et toi ork tu n'est pas avec toute ta horde de peaux vertes, et pourquoi m'avoir sauvé, les peaux vertes ne sauve pas les humains d'habitude?"

Harelton était perplexe, il devait tué tout les xenos et hérétiques pour l'empereur cependant l'ork l'avait sauvé et il ne pouvait l'ignoré, comment cet ork avait il pu lui sauvé la vie cela ne ressemblé aucunement a l'attitude d'un ork. Que ferait il si l'inquisition apprenais qu'il avait laissé la vie a un ork, de toute façon pour tout le monde il devait être mort. Il savait que pour survivre il ne devait pas resté seul mais est-ce que cette ork accepterait il cet accord?

Que faire il devait réfléchir et vite avant que la situation ne dégénère a nouveau car sur cette planète on ne pouvait se reposé le chaos ne laissait pas de répits.

Le regard de Krorgark se fit vide un instant (Enfin, un peu plus.) : comment expliquer l'amitié qui le liait au Dark Angel Baalakai ? Le nombres de fois où ils avaient combattu ensemble ? S'étaient soutenus ? S'étaient sauvés ? Tout cela n'avait commencé que par un combat où l'Ork avait admiré la force du Terminator, puis... Eh bien, comme il l'avait dit alors, "l'amitié, c'est profond dans l'Orkitude". Il avait commencé à faire attention à des détails bénins, comme la survie de ses coéquipiers... Comme il avait tendance à les frapper mais à s'assurer qu'ils restent en vie, il était rapidement devenu populaire dans le Quartier Ork... Mais comment expliquer ce qui est unique dans l'univers ?

L'amitié sincère et désintéressée d'un Ork et d'un Space Marine ?

Comment faisait les Orks pour expliquer une première dans l'histoire ? Par exemple, le premier moteur, comment le Mékano l'a-t-il expliqué à son Boss ?

Enfin bref, ça suffit !

L'Ork redescendit de son nuage et répondit d'un ton bourru :

"Bouffés par la Choz' Putrid'... cé l'nom d'la gross' merdouill' vivante. Et pi', j'tai sauvé passke ! Valà ! T'enten' ? Passke ! Allez, bouj', on vire de là."

Harelton ne chercha pas à en savoir plus sur son sauvetage il savait que l'ork ne lui dirait pas les raisons pour l'instant peut-être plus tard si jamais il venait a lui redemandé. Il se mirent en route et Harelton suivit l'ork.

Après quelques minutes de silence à marcher, Harelton se rappela qu'il ne s'était pas présenté : "Je suis Harelton Marcas Karskin 2nd classe du 95éme régiment de Fusiliers Cadiens, et toi ork comment t'appelle tu? et ou allons nous?

Allons bon, voilà que le Garde Impérial voulait savoir comment il s’appelait et lui donnait son nom… Il avait déjà eu du mal à retenir Baalakai.
« Moi cé Krorgark le Chasseur, Ork Sauvaj’, nob. On va où on va. » Grogna-t-il dans la direction de l’Humain.
C’était peut-être le stress et la fatigue, mais le Garde Impérial crût voir le Squig-poison faire une révérence et lancer quelques « Squig ! » enthousiastes pour se présenter.

En sautant de toit en toit, ils arrivèrent à une grand’ place. Couverte de cadavres, d’impacts de balles et de débris de Leman Russ, elle faisait peur à voir. Enfin, en partant du principe que vous n’êtes pas Ork. Krorgark, lui, se contentait d’observer l’endroit. La grand’ place était circulaire, avec une grande fontaine en son centre.
« J’kroi’ k’on peu y’aller. » Dit-il au Garde après analyse de la situation.
Alors que le Chasseur s’apprêtait à descendre, une grande clameur s’éleva, comme le chœur de dizaines de damnés. Surgissant d’une des rues, la Chose Putride se précipita dans la fontaine. Le Peau-Verte se plaqua violement contre le toit afin de se cacher et fit signe au Garde de faire de même.
Des ruelles sortaient des dizaines de zombis de la Peste, cause des lamentations. Ils marchaient tous vers la fontaine et tournaient autour, dans une macabre parodie de profession. Par petits groupes, ils se jetaient dans la fontaine, où ils rejoignaient la masse visqueuse de la Chose Putride. Détail qui frappa même Krorgark, certains zombis, peu avant de tomber dans les abominables remous, semblaient lever les yeux au ciel et lancer une supplique. Mais leurs cordes vocales brisées ne pouvaient leur permettre d’articuler, aussi, les yeux plein de tristesse et de haine impuissante, ils plongeaient vers leur nouvelle forme de servitude éternelle…
Tout ceci pris bien dix minutes, puis la Chose Putride, ayant grossie, glissa hors de vue des survivants.
C’était donc ainsi qu’elle survivait…