La mort ou la gloire ou la gloire dans la mort

Relevant la tête de son équipement qu'il vérifié pour la énième fois Targost le rangea dans les casiers prévuent a cet effet. Enchâssé dans sa puissante armure gris entracite il se sentait invulnérable, tel un dieux venue sur terre pour exercer le juste courroux de l'empereur. Toute son unité était déjà prête pour le combat et jacassait se ventant d'exploit qu'ils n'avaient pas encore réaliser, et ne réaliseront sans doute jamais. S'asseyant dans le siège qu'il lui était assigné targost repensa a la mission qui leur avait était confié a lui , et a sa meute de griffe sanglante. Le loup suprême avait personnellement attribué a la compagnie de vaul la mission( voire a la poursuite des poursuivants) de renforcé les défense de victory bay. Selon les augures des prêtres des runes une attaque était imminente. Targost attacha son harnais de sécurité et ressentie la même appréhension qu'avant chaque largage en module. Il y a quelque minute il était tel a un divinité et dans quelque instant il ne serait juste q'un homme enfourné dans un morceau de métal fonçant a travers un torrent de feu vers une planète qui se faisait apparemment attaqué. Lui, le surhomme qui avait bravé tant d'épreuve et avait survécu a moult danger ressentit un sentiment qu'il n'avait pas connu depuis son enfance sur fenris la peur de la mort. Au croc les machines pensantes lui avais appris a ne pas ressentir la peur, mais ici dans le sas de la capsule de largage, la ou le plus petit détail pouvais signé son arrêt de mort, même les litanies de calme ne pouvais l'appaisé. Oui car le moindre petit troue dans la coque dépressurisera l'appareil , le moindre erreur de calcule pouvais les faire atterrir n'importe ou ... un défaillance des systemes de freinage et il s'exploserait sur la surface de la planète si il avait la chance d'arrivé jusque la car si les système de réfrigération ne se déclencher pas au bon moment, lors de la rentrée dans l'atmosphère il pouvait tout a fais mourir brulé vif. Toute ces pensé n'aidaient pas a le rassuré.
-bah targost, tah laissé ton cerveau au croc tu bouge plus ??? je savais que t'était idiot mais je pense que le faible contact entre tes deux neurone a du se rompre au moment ou tu a pencher la tête en avant... enfin c'est une théorie rapporta Illior
-moi au moins je n'est pas une tête en forme de cul de squig, ce qui expliquerai ton haleine répliquais-je
faisant une grimace outré Illior souffla dans sa main et me la colla sur le visage, tarik me défendit et je ramenais le calme avant que cela ne dégénère.
-bon les gars un peu de sérieux, vous savez pourquoi on nous envoie la bas , non ? bah les impériaux en bas on besoin d'aide enfin pas maintenant mais bientôt et donc nous les space wolf on vas sauvé leur peau, enfin la routine quoi ... et nous devons ...
je fus interrompu car j'eu le souffle coupé, l'impulsion électromagnétique qui propulsa le module a travers l'espace, fit tendre mon harnais a la limite du supportable. Les longues minutes séparant le départ de l'arrivée s'égrainé lentement sur un chrono affiché devant moi. " 1 minute " affichais l'appareil , le moment que targost détesté le plus, la coque commença a tremblé et a chauffé, ils étaient secoué, ballotaient comme une bouteille jetait dans une mer déchainée. Enfin un grand fracas et il atterrirent, les 4 portes s'abaissant dans un chuintement métallique, de la fumé s'élevait toujours de la coque quand les 6 marines mirent pieds a terre sur le sol pavé de victory bay

Le crépuscule était déjà bien avancé quand les machines accélérèrent la cadence. Des panaches de fumée encore plus noire, épaisse et crasseuse s'échappèrent des conduits d'aération des tanks. Les moteurs vrombissaient d'une manière qui rappelaient une avalanche de rochers dans une pente abrupte.

" - Plu vit' que ça, ça va bientô êt' le noir ! "

Gork était juché sur une caisse de munitions, accroché à la rambarde d'une plate-forme de mitrailleuses. Ne sentant aucun mouvement significatif, il se saisit d'un Automatik' qui traînait par terre et tira une rafale sur le cockpit blindé, situé dans la "tête" du Gargant. Ceci eut pour effet de réveiller les pilotes, amorphes depuis que la colonne de blindés s'était arrêtée près d'un point d'eau pour ravitailler. Les Orks agitèrent violemment leurs bras à travers la fenêtre en signe de protestation, mais une autre série de projectiles ricochant contre le blindage les fit immédiatement retourner à leur poste. Le titan de métal bardé de totems à l'effigie des divinités des peaux-vertes se mit en branle, et la plate-forme sur laquelle Gork se tenait, accrochée sur le dessus de l'épaule gauche du Gargant, se mit à se balancer d'avant en arrière à mesure que le colosse progressait. Gork s'agrippa fermement à la rambarde et tira quelques coups de feu en l'air en poussant un beuglement, heureux de repartir au combat.
En contrebas, des nuées d'esclaves Gretchin arpentaient les plaques de blindages, se faufilant dans les interstices pour entretenir et réparer la machinerie archaïque du Giga-Kanon Titan-Burster. De chaque côté du cockpit, les Grots astiquaient des Super-Gatling et les bourraient de munitions faisant deux fois leur propre taille. Bref, partout dans les entrailles du colosse aux couleurs chamarrées, l'agitation régnait. Grâce à un ingénieux système de stockage, le Gargant était doté d'une plate-forme de lancement fixée sur le sommet de l'épaule droite, et accueillait un escadron entier de Kopters grâce à un hangar aménagé sur tout son flanc droit. Les appareil volants avaient été kustomizés par Gork lui-même afin de pouvoir être repliés de façon inconcevable, résultant en un gain de place considérable.

Le Gargant était la pièce maîtresse du régiment blindé des Orks, dominant de sa masse gargantuesque les tanks et autres chariots de guerre des peaux-vertes, et même les terrifiants Krabouillators, répliques miniatures du Gargant, bardés de Kanons eud'la Mort et de pièces d'artillerie, passaient pour des nabots à côté de leur grand frère. Ce n'était pas seulement une marée verte, mais aussi et surtout une marée de métal qui déferlait en direction de Victory Bay. Les Zoms n'avaient qu'à bien se tenir, car à l'aube les Orks ne feraient pas de quartier.